Ne manquez rien des interviews de Nolwenn pour le lancement de "Brésil, Finistère"
Lucas retrouve une grande amie d'Hit West, Nolwenn Leroy, fidèle depuis son premier album en 2003 et qui s'apprête à dévoiler son 8ème disque, « La Cavale » le 12 novembre 2021. Nolwenn se confie grâce à la « boite à souvenirs ». Passez « 1h avec… » Nolwenn Leroy !
Interview (Télécharger le mp3)
Nantes. Hit-West : Nolwenn Leroy en « cavale » pour son prochain album !
Avec son dernier titre Brésil, Finistère, l’artiste bretonne donne le ton de son prochain album Cavale. Un disque qui promet d’être dansant, co-réalisé avec le chanteur Benjamin Biolay.Nolwenn Leroy était l’invitée d’Hit-West ce jeudi matin, 9 septembre, dans le réveil de l’Ouest. De bonne heure et de bonne humeur, la chanteuse parle de son prochain album Cavale et de sa dernière chanson Brésil, Finistère, écrite, composée et produite par Benjamin Biolay. Sorti le 2 juillet dernier, le dernier single de Nolwenn Leroy est un hymne à la liberté.Ce titre représente la liberté absolue, le lâcher prise, surtout après ces derniers mois qui ont été difficiles. On a besoin de se rapprocher, de danser, confie la chanteuse auprès de nos confrères d’Hit-West.
Un album co-réalisé avec Benjamin Biolay Après de nombreuses collaborations dans ses précédents albums, c’est avec Benjamin Biolay qu’elle a choisi de réaliser Cavale. Leur rencontre est, aux yeux de la chanteuse, une évidence : On peut parler d’un alignement de planètes extraordinaire, ça s’est fait comme ça et c’est une chance fabuleuse de travailler avec lui ! On a travaillé ensemble d’une façon fluide et évidente. Les deux artistes semblent avoir trouvé un équilibre parfait entre leurs deux univers, ce qui promet de donner naissance à une pop légère, estivale, raffinée et parfois un peu mélancolique.
Avec Cavale, Nolwenn Leroy affirme être, plus que jamais, en phase avec sa musique. La sortie est prévue pour le 12 novembre.
Révélée par la Star Academy il y a 19 ans, en sept albums d’or, de platine ou de diamant, sa voix puissante et son univers aux accents celtiques, en ont fait l’une des chanteuses préférées des Français. Nolwenn Leroy est l'invitée d'Augustin Trapenard.
La cavale, c’est le nom de son huitième disque, co-réalisé par Benjamin Biolay, et qui sortira en novembre. Une pop légère, estivale et raffinée, parfois mélancolique. De quoi continuer à vous faire danser, et vous donner envie de rêver et d’aimer. Nolwenn Leroy est dans Boomerang.
Carte blanche Pour sa carte blanche, Nolwenn Leroy a choisi de reprendre "Such a Shame" du groupe britannique "Talk Talk"
Extraits de l'entretien "La voix est quelque chose qui m'a obsédé pendant des années. J'ai suivi une formation classique, au conservatoire. Sur cet album je me suis libérée, je n'ai pas chercher à chanter ou déchanter, mais à chanter avec le coeur"
"J'aime l'infini, l'idée d'être au bout de la Terre. J'adore les phares de Bretagne, les embruns, crapahuter dans les rochers. J'adore ce côté très romantique de la mer, et ça se retrouve dans tous mes goûts, en littérature, en musique, etc."
"En revoyant les images de la finale de la Star Academy, j'ai vu de la gravité sur mon visage et celui de ma mère. Comme si j'avais pris conscience à ce moment là que le chemin allait être très long, qu'il allait falloir s'imposer pour que les portes s'ouvrent à moi."
"Du fait de ma formation classique, j'avais du mal à tolérer certaines imperfections. Avec le temps j'ai appris à lâcher prise, j'ai compris que la beauté naissait aussi de l'imperfection"
"Avec le chanteur Christophe, on était tout simplement potes. On allait dîner ensemble. On parlait souvent de l'Auvergne, parce qu'il avait des racines là-bas. Lorsqu'il nous a quitté, j'ai eu envie d'écrire ce texte, La cavale, pour lui rendre hommage"
©France InterBrésil, Finistère en live
Interview Télécharger la vidéo
Juan régale Télécharger la vidéo
La playlist Télécharger la vidéo
En DIRECT jusqu'à 21H sur Sud Radio et en FB LIVE Yvan Cujious reçoit :
👉 Nolwenn Leroy
👉 Yvan Lebolloch Maguitare Bis
👉 Gerard Pont Président du festival Les Francofolies de La Rochelle
Vidéo sur Facebook
Nolwenn Leroy en interview : "Aujourd'hui, je me sens mieux dans mes baskets"
De retour avec le single "Brésil Finistère", Nolwenn Leroy se confie au micro de Pure Charts. Heureuse d'accorder sa première interview pour ce projet, la chanteuse raconte les changements entourant sa carrière, sa rencontre avec Benjamin Biolay, la naissance de ce tube pour l'été, et l'arrivée de son prochain album.
Tout d'abord, comment as-tu vécu l'année 2020 avec le Covid et ses confinements ? Sincèrement, je crois qu'on s'est tous un peu accroché, on a fait ce qu'on pouvait. C'était sans précédent, on ne pouvait se référer à rien de ce qu'on avait pu vivre avant. J'en parlais avec ma grand-mère l'autre jour, qui a vécu des guerres, et elle ne pensait jamais vivre une guerre comme celle-ci, qui est sournoise. Et c'est vrai. C'est pour ça d'ailleurs que les anciens ont certainement eu du mal à se protéger au départ, parce que c'était dur à comprendre pour eux, de faire face à cet ennemi caché. C'était très angoissant.
Artistiquement, cette année a eu une incidence sur ton projet ? Moi ça ne m'a pas du tout inspirée. Je n'avais pas envie d'être présente sur les réseaux sociaux, déjà que ça ne me ressemble pas à la base de montrer ma tête et d'occuper l'espace pour tout et pour rien. Je ne sais pas, je me suis plus renfermée qu'autre chose, ça ne m'a pas donné envie d'écrire des chansons sur le confinement. Je n'ai pas eu de confinement créatif. J'étais dans le repli d'un point de vue artistique parce que, par ailleurs, c'était quand même l'occasion de me retrouver à la maison avec mon petit garçon. En réalité, je n'avais pas levé le pied depuis que j'attendais mon bébé. Donc là j'ai posé mes valises, j'ai été un peu sédentaire. Le premier confinement, je l'ai presque bien vécu d'un point de vue familial et dans ma vie privée, ça m'a fait un bien fou. Le deuxième confinement, il était dur. Il était temps de refaire de la musique, de réécrire à nouveau. J'avais besoin de me nourrir à nouveau. La musique, c'est ma nourriture à moi ! (Rires)
Gros changement aussi : tu étais jusqu'ici ta propre manageuse, et maintenant tu as deux managers. Pourquoi cette décision maintenant ? C'est sûr que ce n'est pas anodin au bout de vingt ans... Ce qui a généré cette envie-là, c'est certainement l'arrivée de mon petit garçon. C'est un peu technique et le public ne s'en rend peut-être pas compte mais les artistes ont souvent une équipe autour d'eux. Moi, je travaillais seule, c'était intense. Il y avait beaucoup d'échanges, de retours, de mails... Je m'occupe beaucoup de mon fils et je préfère passer du temps avec lui plutôt que de répondre à des mails. Et puis la stratégie, la construction d'un projet... Je me reposais énormément sur ma maison de disques. J'ai aussi changé de label, qui est Polydor. Effectivement, il y a beaucoup de changements mais c'est le bon moment. J'étais prête à refaire confiance. C'est un métier difficile, il faut savoir se protéger, j'avais beaucoup d'angoisses mais aujourd'hui j'ai assez de recul pour savoir à qui je peux faire confiance. Maintenant, je suis une grande fille ! Au début, on tâtonne, on ne sait pas trop, je préférais être seule que mal accompagnée. Je suis d'un naturel méfiant et je le serai toujours, mais je me sens mieux dans mes baskets.
Et puis, en tant qu'artiste, on ne peut pas tout faire... Faire confiance à des gens qui sont expérimentés dans un certain domaine, ce n'est pas une mauvaise chose. Certaines personnes peuvent t'apporter ce dont tu as besoin, m'aider par exemple à ouvrir certaines portes qui sont encore fermées, à déverrouiller certaines choses. J'ai compris que je ne suis pas obligée de le faire toute seule, je peux avoir de l'aide de personnes qui sont de bons conseils.
Après "Gemme" et "Folk", tu avais des envies particulières pour ce nouvel album à venir ? J'ai eu le temps d'y penser en effet, ça fait quand même quatre ans depuis "Gemme" ! Là, ce qui s'est passé, à la fois c'est totalement cohérent mais à la fois c'est un bonheur qui m'est tombé dessus. Ce n'est pas quelque chose que je suis allée chercher. Benjamin [Biolay, ndlr] est entré en contact avec moi pour savoir si ça me brancherait de travailler avec lui. C'était en janvier 2020, avant le premier confinement. D'un coup, c'est un truc qui vient du ciel, où tu te dis : "Ah ouais, ça pourrait être génial".
Tu ne l'avais jamais envisagé ? J'ai toujours été une grande admiratrice, de son travail, autant en tant qu'acteur que chanteur et musicien d'ailleurs. Je le respecte beaucoup. Benjamin Biolay c'est le patron de la chanson française, dans tout ce qu'elle a de beau et de grand. J'étais super honorée. On s'était croisés à plusieurs occasions, comme aux Victoires de la Musique. Mais ensuite, il y a eu le confinement, le temps s'est écoulé, son album est sorti, et on s'est retrouvés par la suite. Je me demandais si c'était toujours d'actualité vu que son album a été un énorme succès. Et il m'a dit qu'il était à fond !
Vous avez travaillé ensemble en studio ou les chansons étaient déjà prêtes ? On s'est d'abord vu plusieurs fois, on a échangé de longues heures ensemble sur nous, nos vies, notre enfance... C'était quelque chose de très important pour moi de me retrouver dans cette situation. Ça ne m'était pas arrivé depuis ma collaboration avec Laurent [Voulzy, ndlr], il y a quasiment vingt ans. Sinon je partais aux îles Féroé, un peu partout, à écrire dans mon coin, à faire ma petite cuisine. Je reconfie les rênes, je lui laisse les clés. C'était une démarche importante pour moi. Après, je ne laisse pas les clés à n'importe qui non plus, j'étais en grande confiance. Mais me retrouver dans cette situation où je découvre des chansons qu'on a pu écrire pour moi, c'est quand même un grand moment. Donc on s'est vu plusieurs fois, et ensuite il m'a fait écouter les chansons écrites après nos échanges, et ça correspondait vraiment à ce qu'on s'était dit. Benjamin Biolay il n'a pas de fond de tiroir, ça n'existe pas. Il est toujours dans la création, il ne s'arrête jamais.
C'était comment de travailler avec lui ? C'est quelqu'un qui a une capacité de travail énorme, ça va très vite dans sa tête. C'est très impressionnant, je n'avais jamais vu ça de ma vie. Il a une compréhension de la musique, il sait tout de suite ce qui fonctionne et ce qui fonctionne moins, il a une capacité d'analyse assez incroyable. On travaille très vite du coup, c'est assez instinctif, et très instantané dans les prises de voix. J'ai très peu chanté en fait. A la fois, je lui ai donné les clés mais il m'a laissé totalement libre de mon interprétation. J'ai beaucoup appris à ses côtés.
Tu reviens donc avec le single "Brésil Finistère". L'alliance est d'ailleurs assez surprenante quand on lit le titre... Oui, c'est vrai que ça raccroche les wagons avec ce que j'ai pu faire précédemment, c'est un petit clin d'oeil à ma Bretagne, même si ce n'est pas une chanson celte ou bretonne, mais je ne pouvais pas passer à côté. C'est une chanson qui donne envie de chanter et de bouger. Je l'entends dans beaucoup de discours d'artistes en ce moment, tout le monde a envie de faire danser les gens, de prendre l'air, respirer un bon coup. Ce n'est pas du tout une chanson sur le confinement mais forcément ça a eu un impact sur nous, dans la création. L'universalité de la danse aussi, du Brésil au Finistère, de la samba au fest-noz. La danse, c'est quelque chose qui rassemble, qui fait du bien. Mais même au-delà de danser, d'être ensemble.
Tu as senti la puissance de la chanson dès que le début ? Ah oui, tout de suite ! Alors pourquoi le Brésil ? Je me suis demandée, parce que ça aurait pu être l'Argentine vu les attaches de Benjamin. Mais Brésil, ça marchait bien, Argentine c'était trop long. C'est aussi simple que ça, il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. (Rires) Cet album sera très équilibré aussi bien musicalement que dans les thèmes, mais là pour cet été, c'est de ça dont on avait envie. Cette chanson s'est imposée à tous, on l'adorait tous. On ne devait pas la sortir aussi rapidement mais on s'est dit que c'était dommage de passer à côté d'une chanson aussi agréable pour cet été, à écouter en vacances...
Tu écriras toi-même des textes sur l'album ? On a co-écrit une chanson avec Benjamin qui porte le titre de l'album. C'est une chanson hyper importante de par son thème que tu découvriras plus tard. C'était important même si ce n'était pas du tout la démarche de base. J'étais partie pour me confier totalement à Benjamin... Il y a certains thèmes, sujets et chansons qui n'auraient pas existé si je les avais écrites moi-même. Parfois, certaines personnes arrivent mieux à exprimer des choses que toi tu n'arrives pas à exprimer seule. Elles trouvent certains mots que tu ne dirais pas toi. Je suis d'un naturel assez taiseux, j'ai souvent tendance dans mes chansons à utiliser la métaphore, avec plusieurs degrés de lectures. J'aime ça mais c'est aussi parfois parce que j'ai du mal à dire les choses. Il m'a fait du bien là-dessus aussi. Et c'est ce qui marche dans l'époque, et c'est sans doute dû au succès de l'urbain, il y a un côté plus direct dans la manière d'écrire les textes. J'en avais besoin. De quelque chose à la fois direct et à la fois poétique, et c'est ce qui fait la force de Benjamin, de ses textes.
En termes de sonorités, les chansons de l'album seront dans la veine de "Brésil Finistère" ? Je suis encore en studio, on finit les mixes de l'album, je peux pas trop en parler encore. La seule chose que je peux te dire, c'est qu'il y a un très bel équilibre sur l'album, qui est très personnel, et qu'il y a vraiment tous les marqueurs de la musique de Benjamin de toutes les époques. Si tu connais bien la musique de Benjamin, tu verras qu'il y aura de très belles cordes, du piano-voix... C'est un album fort pour ça, et il est aussi fait pour la scène, parce que sincèrement je suis hyper impatiente de chanter ces chansons sur scène, ça va déchirer !
Julien GONCALVES ©Pure ChartsNOLWENN LEROY FAIT SON GRAND RETOUR AVEC LE TITRE «BRÉSIL, FINISTÈRE»
Il était attendu avec impatience par les fans de la chanteuse. Le nouveau titre de Nolwenn Leroy, «Brésil, Finistère», sorti ce vendredi, amène un vent de fraîcheur et de légèreté sur notre été.
Si de nombreux artistes ont «profité» du confinement pour se mettre dans leur bulle et créer de nouveaux projets musicaux, Nolwenn Leroy n'échappe pas à la règle et revient avec un titre pop, entraînant et solaire, signé Benjamin Biolay, grand gagnant des Victoires de la Musique 2021.
«BRÉSIL, FINISTÈRE, JAPON, PLANÈTE TERRE...»
Ode joyeuse à la vie, au lâcher-prise et au plaisir d'être ensemble, le titre se veut fédérateur et invite au voyage. Nul n'aura manqué le clin d'œil aux racines bretonnes de Nolwenn, dont le Finistère est le département natal. La guitare funky couvrant le bruit des vagues nous emmène d'entrée de jeu sur les plages bretonnes si chères à la jeune femme.
La chanteuse, habituée jusqu'à présent à écrire beaucoup de ses titres, a indiqué qu'elle avait «laissé les clefs» à Benjamin Biolay pour la réalisation de cet album. Très admirative du travail de ce génie de la musique, Nolwenn a été très flattée quand, début 2020, le chanteur lui a proposé de travailler ensemble. «Je me suis mise dans une démarche d’abandon en lui confiant ma voix, a-t-elle expliqué à nos confrères de Ouest France. Ce n’est pas rien car je suis quelqu’un qui a du mal à se livrer, à faire confiance. Mais ça a cliqué, il y a eu une sorte d’évidence.»
Cela faisait maintenant quatre ans que Nolwenn Leroy n’avait pas sorti d’album original, depuis Gemme, en 2017. Ce nouvel album très attendu, au premier single prometteur, devrait sortir à l'automne prochain.
UNE CARRIÈRE JALONNÉE DE SUCCÈS
Révélée par la Star Academy dont elle est sortie vainqueur en 2002, Nolwenn Leroy n'a cessé de surprendre ses fans tout au long de sa carrière. Si son premier album éponyme «Nolwenn», sorti en 2003, a été un gros succès grâce notamment au titre «Cassé», c'est surtout sa collaboration avec Laurent Voulzy sur l'opus «Histoires naturelles», en 2005, qui a révélé toute sa personnalité et son univers musical pop et lumineux. Pour la première fois, l'artiste signe la moitié des textes de l'album et montre également ses talents de musicienne.
En 2009, elle revient avec «Le Cheshire Cat et moi», un album pop-folk plus intimiste créé avec le chanteur féroïen Teitur aux îles Féroé. Bien qu'il sorte de l'ordinaire, le projet rencontre un acceuil plus timide du public, mais la chanteuse n'a pas dit son dernier mot et fait un retour fracassant avec «Bretonne», en 2010. L'album de reprises celtiques connaît un immense succès en France (deuxième meilleure vente de l'année 2011, numéro 1 du Top Albums pendant sept semaines, double disque de diamant pour plus d'un million de ventes).
S'en suivront les excellents «Ô filles de l'eau» (2012) et «Gemme» (2017), et l'inattendu album de reprises «Folk», composé de chansons francophones, principalement des années 1970. Avec ce nouvel opus à venir -dont le titre n'est pas encore connu- Nolwenn Leroy prouve à nouveau qu'elle va toujours là où on ne l'attend pas, avec talent.
Lauren Clerc
©CNews
Nolwenn Leroy présente "Brésil, Finistère", sa nouvelle chanson sur RTL
INVITÉE RTL - Quatre ans après l'album "Gemme" et près de trois ans après ses reprises "Folk", Nolwenn Leroy est actuellement en studio pour préparer son sixième album de chansons inédites.
Télécharger la vidéoQuatre ans après l'album Gemme et près de trois ans après ses reprises Folk, Nolwenn Leroy est actuellement en studio pour préparer son sixième album de chansons inédites. Un album attendu à l'automne. Le premier extrait s'appelle Brésil, Finistère, une chanson écrite, composée et co-réalisée par Benjamin Biolay. Collaboration inédite pour la chanteuse populaire.
Le Finistère est le département natal de Nolwenn Leroy, clin d'œil à ses racines bretonnes. C'est une chanson d'amour, d'invitation au lâcher-prise, à la confiance en l'être aimé. Des thèmes chers à son cœur comme la mer, l'écologie et le voyage se croisent dans le texte. Musicalement, l'artiste nous emmène ailleurs, dans une ambiance pop chic, féminine et sexy. Ligne de basse et violons colorent ce morceau up-tempo qui fera date dans sa discographie. C'est élégant et c'est estival. "Cette chanson est née de ma rencontre avec Benjamin Biolay il y a quelque temps. Bien avant le premier confinement, il m'a proposé de faire des chansons avec lui. Cette chanson est la première qu'il m'a proposée et on s'est dit : 'On tient un truc'", démarre Nolwenn Leroy. Le duo décide de la sortir avant l'été, car "elle nous faisait du bien, elle nous faisait danser en studio. Et c'était un peu cette volonté, après tous ces mois difficiles que l'on a vécus, de se rapprocher et de danser", ajoute l'artiste avant de conclure : "On a tous besoin de se rapprocher, de danser, d'être ensemble en ce moment".
Steven Bellery ©RTL Ce vendredi 2 juillet, la radio met les petits plats dans les grands pour fêter comme il se doit la dernière émission de la saison du Meilleur des Réveils.
A cette occasion, le morning de RFM se délocalise sur la péniche «Le Tennesse» en compagnie de plusieurs invités prestigieux à l'instar de Gaëtan Roussel et de Nolwenn Leroy.
Interview - partie 1
Brésil, Finistère en live
Interview - partie 2
NOLWENN LEROY REVIENT APRÈS TROIS ANS D'ABSENCE AVEC "BRÉSIL, FINISTÈRE", UN MORCEAU DANSANT
La chanteuse sort avec la complicité de Benjamin Biolay un nouveau titre solaire. Un avant-goût de son prochain disque, prévu pour cet automne.
Un single signé Benjamin Biolay
Ce single lumineux est signé Benjamin Biolay, le grand gagnant des Victoires de la Musique 2021. "J'étais prête à faire confiance, et à laisser les clefs, mais pas à n'importe qui", affirme Nolwenn Leroy. "Et je crois qu'en la présence de Benjamin je ne pouvais pas trouver mieux aujourd'hui. C'est quelqu'un qui me laisse libre. C'est une rencontre, vraiment." Benjamin Biolay a réalisé d'ailleurs l'entièreté de son prochain disque.
Depuis la sortie de Bretonne en 2010, le succès de Nolwenn Leroy ne se dément pas. Son disque puisant dans le répertoire breton a dépassé le million d’exemplaires. Son dernier album en date, Folk, propose des reprises de standards français parfois oubliés.
Titre solaire et dansant, Brésil-Finistère a été inspiré par la pandémie et le confinement, raconte Nolwenn Leroy au micro de BFMTV. "On a tous été impactés par cette période", note la chanteuse. "On peut difficilement faire autrement. On a envie de quoi aujourd'hui? On a envie de danser, d'être ensemble. C'est ce que l'on retrouve dans ce texte."
Jérôme Lachasse
©BFM TV