Nolwenn spectatrice à Roland Garros

Nolwenn spectatrice à Roland Garros

Nolwenn Leroy et Karine Ferri copines à Roland Garros

La pluie s'était calmée à Paris, l'occasion pour les VIP d'aller faire un tour à Roland-Garros. Hier, vendredi 27 mai, ce sont deux brunettes qui ont illuminé la journée : Nolwenn Leroy et la jeune maman Karine Ferri.
Nolwenn, pour qui le tennis n'a aucun secret (puisqu'elle est la compagne d'Arnaud Clément), est arrivée lunettes de soleil sur le nez avant de nous dévoiler son regard bleu azur et de prendre place dans les gradins tout près de la rayonnante Karine. Karine Ferri et Nolwenn Leroy ont été invitées à l'espace Lacoste par leur ami Bernard Montiel.

Interview

Nolwenn Leroy : «Roland-Garros a failli me faire rater mon bac»

Publié le 31/05/2016 à 07:12 par Gilles Festor ©lefigaro.fr
LE SCAN SPORT - La chanteuse française qui partage la vie d'Arnaud Clément a un souvenir un peu particulier des Internationaux de France lorsqu'elle était lycéenne.

A Roland-Garros

Nolwenn, êtes-vous une spectatrice régulière de Roland-Garros?
Nolwenn Leroy: Je ne viens pas ici pour les photos, rassurez-vous. Je suis une vraie amatrice de tennis, d'abord parce que j'aime ce sport et ensuite parce que le tennis est un peu plus rentré dans la vie depuis quelques années (elle partage la vie de l'ancien tennisman Arnaud Clément depuis 2008). Tous les ans à cette période de l'année, Roland-Garros vient se faire une bonne place dans mon quotidien, à côté de la musique bien sûr.

Comment se comporte Nolwenn Leroy sur un court de tennis?
J'ai la chance d'avoir mon prof personnel et il se débrouille pas mal sur le terrain (rires). Il m'envoie la balle pile au bon endroit donc, forcément, j'ai eu un apprentissage facilité et assez rapide. Je ne dirais pas que je joue bien mais j'arrive quand même à taper la balle humblement.

Quel est le premier souvenir qui vous vient en tête de Roland-Garros?
C'est un souvenir télévisuel lorsque je faisais mes révisions pour le bac. Je passais des heures et des heures avec mes bouquins et j'avais envie de m'échapper, alors je regardais les matches sur la télé dans ma chambre. Dès que j'entendais ma mère monter dans les escaliers, je coupais. Une fois repartie, je rallumais! Je ne l'ai jamais avoué à ma mère, voilà c'est fait maintenant! Mais j'ai quand même failli rater mon bac à cause de Roland-Garros. Je ne comprends pas pourquoi depuis toutes ces années ils n'ont pas décalé la date des examens. C'est un mystère (rires).

Y-a-t-il un joueur que vous appréciez en particulier sur le circuit?
Il n'y en avait qu'un qui me faisait craquer et je l'ai auprès de moi aujourd'hui (sourire). Et sachez qu'il n'y en a pas d'autres. Bon, puisqu'il vous faut un nom, je vais vous dire Rafael Nadal. J'aurais bien aimé le voir gagner le tournoi cette année. J'ai eu la chance d'aller le voir jouer à Monte-Carlo cette année. Il avait retrouvé son tennis. Et dans un autre style Roger Federer. C'est la grande classe, lui.

Sur le circuit féminin, qui soutenez-vous en particulier?
Je suis à fond derrière les joueuses françaises et je trouve que l'on n'en parle pas toujours assez alors qu'elles sont au top et qu'elles ont un super état d'esprit. Elles sont quand même en finale de la Fed Cup, il faut absolument que le pays soit derrière elles au mois de novembre contre la République tchèque.